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C'est ta chair qui m'appelle, en cette étreinte insinue où ton corps agile et brûlant perce mes plus languissant désirs ....sur ton torse, le monde ne semble plus m'appartenir, et tes doigts me pianotent.... je crois entendre une musique orientale, et delicate, ta main me presse et m'attire , je sens ta fougue faire de moi l'objet de ton désir....un parfum de désert couvre la force immuable de ta voix...me voici brûlante face à toi ...tes lèvres me narguent de leur sensualité exarcébées, par accoups démesurés...ta langue m'aiguise, étoffe veloutée au coin de la nuit...je crois voir le sérail dans toute sa beauté, chevauchée les plus belles demoiselles de la nuit sous l'oeil des djinns amusés...ne plus m'appartenir à cet instant, pressée , basculée, je ploie à la folie de tes sens...me voici reine d'un soir sur la lance étincelante de ton corps...Je ne suis plus moi, je ne suis plus celle que certains nommées fleur au parfum de miel, me voici offerte sur un lit de sésame...repue et dévorée de ta gourmandise luxuriante....et les draps se plaignent de nos ébats devenant des sables mouvants, où nos corps assoiffés disparaissent perdus dans la folie de nos sens , le plaisir en appui sur la courbe de nos hanches, sous la voûte étoilée de tes mille et une nuits...
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Le coeur entend et se souvient...
Il y aura toujours sur mon âme un sourire éternel,
pour toi, mon âme jumelle,
venu du bout du ciel
Car le coeur entend et se souvient
deux âmes et un refrain
sur les montagnes de nos destins
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>D</o:p>eux coeurs unis
sur le même chemin
<o:p>T</o:p>oi et Moi
juste UN
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Je tue le leurre dans l'apocryphe de ma conjoncture, parsème les versants de ton corps allongée tranquille, me repaît de cette condition surseoir, aux courbes de cette attraction structurée...
La matière est chaude, la pensée se perd, le rêve tournoie sur ta chair, les lèvres exhibent leur folie en agonie de tendresse profonde et offertes à l'absolu de ton rêve...Je disparais dans un frisson...totale abandon, où nous reviendrons, comme chaque année, frôler de déraison , à la folie de nos cœurs....
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Nous survivrons
sur l'océan de Nous
que nous puissions exister
Je reçois les prémices de nos circonstances
Vaste lumière
en Tragédie de Tendresse
Il se peut
Il se doit
aux entrelacs de nos coeurs
Mais tu es si près
et pourtant...si loin de moi...
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</o:p>
<o:p> </o:p>
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Photo by shyble deviantArt
Je m'ouvre aux portes de la raison
subtile incandescence statique
sur l'horizon de ma nuit
Mon coeur s'appelle et se demande,
Le navire dépose l'encre sur les moutons de la page blanche,
vaste comèdie de sentiments convulsés.
extase et salaison d'abscence constamment murmurée ,
le iodé de l'instant donne le feu nonchalant...je tourne et me dilate, constellation d'un astre clair, je fonds dans ma propre lumière...
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