• Peut être

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

    J'attends seulement un signe
    aux portes du firmament,

    un seul mot pour nous dire...

      

      

      


  •  Récognition de l'éveil

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'effort concentré aspire , récogniton de l'éveil loin de la douleur, extase de finitude dans la véritable conscience...Je comprends le parachèvement de mon non-attachement aujourd'hui organisé autour de ma conscience en appel.
    D'ici-bas ou de l'au-delà, je déploie les ailes au sommeil de l'âme parlant de théorie occulte à la face de l'univers rayonnant la cause première.
    Je vois la vérité des êtres s'exprimait au travers de l'intensité, images mentales latentes sur la route akashique.
    Voyante monadique au confins de ses rêves , le permanent, le pur et  le béni pour ami, je prends la forme, état complet de ma vibration qui s'achève...




  • Photo by Darkrose42 (DeviantArt)

     

     

    Dans le sans forme , le sentier juste brille. La matière devient la théorie du vaste mystère.Les polémiques du processus attise la planète...confins nébuleux et austères , l'incarnation opère. Le corps physique unifie la compréhension de son silence et l'émergence sur les contours de l'âme , dualité des fusions échymosant l'existence pourtant sereine, la nature inférieure exagère chacun de nos gestes, afin de nous égarés de la finitude. L'inconscient échoue encore devant l'expression de l'idée, d'un mental plus que désordonné...expansion doucement d'une conscience qui se désincarne pour atteindre l'affranchissement exegète , probation successive de l'expansion de l'être qui implose la sphère renonciatrice dans le corps astral






  • Photo by DeviantArt



    Il te faut terraser les écrits,les pourquois qui foisonnent sur des espaces fantômatiques. Tu cherches l'ombre perdu dans la nuit glacé, la peur du vide, la rupture de l'équilibre de toutes tes espèrances. Le masque de l'oubli emprisonne tes émois de tristesse. Le bruit se détache en un long murmure du passé qui maudit. Les lumières tournent dans ton esprit, laissant tes clartés en absences de rêves. Assise sur ton paradis, tu regardes le ravin majestueux de ton coeur,et toute cette liesse qui se disperse au coeur des anges altérés. Le vide te donne l'impression que des ailes se deploient tout autour de toi, immensité de l'envol vers la derniere nuit.
    Ton souffle tremble.
    Ton âme a peur, tes doigts s'éternisent , là sur ta poitrine grande ouverte.
    Il est des supplices où l'heure galvaude avec le temps, pour nous éteindre à petits feux.
    Tu t'affaiblis, te laisses couler, là sur le courant à mille et une vies.

     



  • Photo by DeviantArt



    Dualité de l'éphèmère instant qui nous sépare chaque fois, tes reflets me bercent à l'infini de mon coeur.Enfant je descends plus profondèment afin de ne pas renier le firmament qui m'attends. Mon âme echymose encore , le coeur se berce afin de consoler cette tangible amertume.







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