• Murmure

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il y aura toujours un rêve
    entre toi et moi
    le murmure de nos yeux
    comme une infinie prière
    sur tous les matins de notre monde


    Il y aura toujours un rêve
    entre toi et moi
    l'amour d'un soleil
    une encre de lune
    pour te dire que je t'aime







  • L'attribut de l'inertie détermine le rythme, infranchissable formes solaires où les âmes témoignent.

    Le mal s'apparente à la forme. La substance pédomine dans le silence.
    La nature comprend la manifestation résolue,
    effleurant nos identités alors que l'atome nous propose .

    L'espace demeure  un chronos abîmé à la force du temps, bien loin de nos éternités contraires.

    Je sens l'appel qui soudain opère la délectation monadique dans la voix du silence .

    Ma raison apparaît dépassant les seuils de ma limitation temporelle.
    La grande illusion ne peut entendre les embrasements de la Présence.

    Mais voici que je suis plus que jamais dans le silence,
    libre enfin et affranchie des septs états de la matière,
                                            une âme en sa constellation de lumière...

     




  • J'économise le silence des mots...
    Plonger dans la poésie de ton coeur,
    Je frôle l'orgasme cosmique,
    centralisation d'une douce explosion éphèmère.

    Je me lie à tout ce qui EST toi
    à l'ascension de ton désir
    à la douceur de ton regard.





     



     



  • Embrassée par ta Lumière,
    ta bouche parcourant mon univers,


    que mes mots recouvrent pour toujours ta terre,
    de mon ciel à ton éther...


    Saches qu'il y aura toujours quelqu'un au pied de ta rivière...



    Merci à toi mon Ange


     

     

     

     


  •  

    Ce serait un jour de septembre et de splendeur
    J'aurais déjà vécu quatre vies sans te croiser
    Comme une feuille d'automne ivre de couleurs
    Tu atterrirais libre inéluctable au cœur de mon histoire

    Je plongerais mes doigts dans la peau profonde de ton eau
    Pour toucher sous le sable les racines indemnes du bonheur
    Sentir trembler le désir sous le limon morne du temps
    Pétrir jusqu'au feu le galet de si loin poli par l'attente

    Je garderais sur les lèvres un goût de rosée et de citron
    La palpitation éclose dans ma main comme un secret
    Sous les paupières l'ampleur soudaine de ton regard
    Rempli de lumière dans l'acuité nue de l'instant

    Alors tu me donnerais enfin mon vrai nom

     Elaine Audet









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