• L'attribut de l'inertie détermine le rythme, infranchissable formes solaires où les âmes témoignent.

    Le mal s'apparente à la forme. La substance pédomine dans le silence.
    La nature comprend la manifestation résolue,
    effleurant nos identités alors que l'atome nous propose .

    L'espace demeure  un chronos abîmé à la force du temps, bien loin de nos éternités contraires.

    Je sens l'appel qui soudain opère la délectation monadique dans la voix du silence .

    Ma raison apparaît dépassant les seuils de ma limitation temporelle.
    La grande illusion ne peut entendre les embrasements de la Présence.

    Mais voici que je suis plus que jamais dans le silence,
    libre enfin et affranchie des septs états de la matière,
                                            une âme en sa constellation de lumière...

     




  • J'économise le silence des mots...
    Plonger dans la poésie de ton coeur,
    Je frôle l'orgasme cosmique,
    centralisation d'une douce explosion éphèmère.

    Je me lie à tout ce qui EST toi
    à l'ascension de ton désir
    à la douceur de ton regard.





     



     



  • Embrassée par ta Lumière,
    ta bouche parcourant mon univers,


    que mes mots recouvrent pour toujours ta terre,
    de mon ciel à ton éther...


    Saches qu'il y aura toujours quelqu'un au pied de ta rivière...



    Merci à toi mon Ange


     

     

     

     




  • Il se peut qu'en dépit de tout ce qui est, nous serons...l'existence sereine et simple, sur les eaux tranquilles de nos larmes de bonheur : l'union de nos deux coeurs, fragiles et tendres.

    Il se peut il se doit qu'en dépit des apparences, tu ressentes cette vérité dans le creux de ton corps, celle de l'âme qui explose sa douleur dans le froid sommeil de l'absence.

    Si tu n'étais pourtant, je fus , avec toi et pour toi, l'autre moitié de moi....merci à toi...



  • Photo DeviantArt




    C'est l'osmose des regards dans le noir
    toujours le silence qui perce la nuit.
    Les feux se rallument . Contact étroit entre la fièvre et l'amertume. La surprise n'ose éveiller le doux rêve qui s'était endormi.
    Trop agile pourtant la voici furtive , recognitive. Le quantique nocturne s'évapore dans l'onde indigeste des tourments,c'est l'effort qui embarrasse le geste. Deux fois restructurés pour plus de pesanteur. Le corps opère la tragédie innocente de l'amour sur ce coeur encore vierge .







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