• Philosophie Taoïste

     

    Il aime à fermer les yeux dans la grande nuit et à s'éveiller pour regarder dans la maison de l'éclatante lueur.

    Il se repose et respire dans un lieu sans contours, vague, et se divertit dans la campagne de l'informel.

    Il habite un endroit sans aspect, il réside sans le sans-lieu.

    Il se meut dans le sans-forme, se tient en repos dans l'incorporel.

    Il existe comme s'il n'existait pas, vit comme s'il était mort, sort du sans intervalle et y pénètre...

    Le commencement et la fin des choses sont pour lui, comme un anneau dont nul ne peut saisir l'extrémité.


     

    Huai nan zi