• Rendez-vous





    Je tue le leurre dans l'apocryphe de ma conjoncture, parsème les versants de ton corps allongée tranquille, me repaît de cette condition surseoir, aux courbes de cette attraction structurée...
    La matière est chaude, la pensée se perd, le rêve tournoie sur ta chair, les lèvres exhibent leur folie en agonie de tendresse profonde et offertes à l'absolu de ton rêve...Je disparais dans un frisson...totale abandon, où nous reviendrons, comme chaque année, frôler de déraison , à la folie de nos cœurs....