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    Music for Egon Schiele - Rachel's






     


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    Texte de Georges Brassens - Interpréte : Yann Tiersen & Carla Bruni


    Il pleuvait fort sur la grand-route
    Ell' cheminait sans parapluie
    J'en avais un, volé, sans doute
    Le matin même à un ami
    Courant alors à sa rescousse
    Je lui propose un peu d'abri
    En séchant l'eau de sa frimousse
    D'un air très doux, ell' m'a dit " oui "

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chos' d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au chang', pardi

    Chemin faisant, que ce fut tendre
    D'ouïr à deux le chant joli
    Que l'eau du ciel faisait entendre
    Sur le toit de mon parapluie
    J'aurais voulu, comme au déluge
    Voir sans arrêt tomber la pluie
    Pour la garder, sous mon refuge
    Quarante jours, quarante nuits

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chos' d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au chang', pardi

    Mais bêtement, même en orage
    Les routes vont vers des pays
    Bientôt le sien fit un barrage
    A l'horizon de ma folie
    Il a fallu qu'elle me quitte
    Après m'avoir dit grand merci
    Et je l'ai vue toute petite
    Partir gaiement vers mon oubli

    Un p'tit coin d'parapluie
    Contre un coin d'paradis
    Elle avait quelque chos' d'un ange
    Un p'tit coin d'paradis
    Contre un coin d'parapluie
    Je n'perdais pas au chang', pardi






  • Les Feuilles mortes par Yves Montand









  • paroles: Eddy Marnay
    musique: Michel Legrand

    Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
    Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
    Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles
    Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval,
    Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
    Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon coeur

    Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant
    Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
    Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands,
    Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan,
    Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
    Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon coeur

    Ce jour-là près de la source Dieu sait ce que tu m'as dit
    Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
    Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà
    Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts
    Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
    Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie
    Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
    Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux

    Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
    Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
    Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
    Tous les moulins de mon coeur



  • Photo by (DeviantArt)



    J'ai le feu du volcan, la chaleur du désert, la saveur de la terre, la lueur d'une lune claire 
    Je n'ai rien, que dans le coeur, l'immensité du ciel ouvert
    J'ai la fraîcheur d'une rivière, la colère du typhon
    J'ai l'amour d'une mère, les tourments des quatre vents
    Comme ils tombent, comme ils tombent les flocons de l'hiver
    Ils s'entassent dans ma tête comme mes contradictions
    Et mes perles d'amour, dans un écrin de poussière
    Étrange comme je t'aime

    J'ai la lumière du soleil,le frisson de la fougère,la rudesse de l'hiver,la douceur du miel
    la folie manifeste et la tristesse éphémère
    la foi, mais de celles qui ne posent pas de barrières
    Comme le fleuve je m'abreuve à l'océan de ta pensée
    Je boirai toute l'eau de la mer pour que tu viennes m'aimer
    Pieds nus dans la terre simplement comme hier 
    Étrange comme je t'aime - Prise au piège
    j'écoute les tambours de la pluie 
    Je pleure au torrents convoyant la souffrance d'autrui 
    Trop de choses à la fois se font des routes dans ma tête
    Alors je ne sais plus rien , sauf que pour toi, je creuserai de nouveaux sillons aux mélodies de l'univers

    refrain

    Je vais reculer le soleil pour savourer le sommeil 

    Étrange comme je t'aime..... JE T'AIME



    DobaCaracol

     

     

     





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