• Attente

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tu extasies tes gestes sur
    les contours de  ton corps
    croyant  encore à
    d'autres fulgurances
    Poignant l'ombre folle
    sans le soupçon du moindre doute,
    tu vascilles la bouche en corolle,
    sourire béat
    devant la folie de ton désir statique.



  •  

    Les lèvres se sont usés et meurtris sur les baisers de tant de delices
    C'est l'extase langoureuse du plaisir qui se repait de sensualité sur la courbe de ton être
    Tisse les extases de tes rondeurs soyeuses, humides et delectées, empressées et serrées à souhaits
    Tu t'adonnes et de donnes à ce goût étrange de la vissicitude, yeux bandés , gorges nouées sur le foulard
    qui témoigne l'agonie d'un profond désir
    et la caresse te frôle le coeur et l'âme comme le doux murmure d'une libellule, encore jeune
    Le simple battement de ses ailes te donne l'air d'être juvénile, délicate et subtile sur les draps encore froissés de t'être dépossédée à ces instants de désirs endiablés...



  •  

    Il me faut à présent me reposer et espérer encore malgré ma peine.
    Il me faut à présent regarder la route qui s'ouvre sous mes pas.
    Je regarderais partout où tu ne seras pas là.
    Je m'écorcherais les yeux pour te voir, là sur le chemin qui te mène à moi.
    Car je sais que tu seras là, car tu as toujours étais là, même quand je ne te voyais pas.
    Les coeurs se croisent et s'enrubannent parfois sur les routes des vies, si fort, qu'ils croient encore, qu'ils croient si fort, que leurs rêves deviennent de l'or, semés au vent du nord...je suivrai le vent , légère et sereine...et  laisserai aller mes veines vers ton immensité.





  • Je te sens auprès de moi et ton coeur qui espère.
    Ce soir j'ai fait une prière.
    Sur les murs de la chambre se dessine les années de ma vie, où rien ici ne fut vie, jusqu'au jour où je te vis, sortir de ta voiture et rentrer chez toi.
    C'était un soir où il faisait froid , tu étais pressée et moi je te regardais, sans que tu t'en aperçois.
    et je te regarde encore malgré tous les mois passés à te suivre partout où tu es
    et je ne cesserais de te regardais ,chaque fois que je te croiserais, jusqu'au jour où enfin nous nous reconnaîtrons  et que nous nous prendrons la main.
    Cette fois-là,  il n'y aura plus de fin...




  •  

     

    Amants maudits
    meurtris
    au coeur de la nuit
    Je regarde et j'entends

    dans le brouillard froid du soir
    ton coeur qui m'appelle et me dit

    que tu m'aimes

     

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