• Je tue le leurre dans l'apocryphe de ma conjoncture, parsème les versants de ton corps allongée tranquille, me repaît de cette condition surseoir, aux courbes de cette attraction structurée...
    La matière est chaude, la pensée se perd, le rêve tournoie sur ta chair, les lèvres exhibent leur folie en agonie de tendresse profonde et offertes à l'absolu de ton rêve...Je disparais dans un frisson...totale abandon, où nous reviendrons, comme chaque année, frôler de déraison , à la folie de nos cœurs....












  • Nous survivrons

    sur l'océan de Nous
    Je reçois les prémices de nos circonstances
    Vaste lumière
    en
    Tragédie de Tendresse

    Il se peut
    Il se doit

    que nous  puissions exister        
    aux entrelacs de nos coeurs

    Mais tu es si près
    et pourtant...si loin de moi...
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    </o:p>




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  • Photo by shyble deviantArt



    Je m'ouvre aux portes de la raison
    subtile incandescence statique
    sur l'horizon de ma nuit





    Mon coeur  s'appelle et se demande,
    vaste comèdie de sentiments convulsés.

    Le navire dépose l'encre sur les moutons de la page blanche,
    extase et salaison d'abscence constamment murmurée ,
    le iodé de l'instant  donne le feu  nonchalant...je tourne et me dilate, constellation d'un astre clair, je fonds dans ma propre  lumière...








  • Photo by Misha gordin




    Depuis toujours elle te connaît , toi l'indubitable et seul, dans tes tourments de regrets.
    Tu peux soulever de ta face tes sourires nargués, il n'est de masque plus subtil dont elle ne surprend l'évanescence.
    Il se peut qu'au travers de tes désirs les plus secrets, se cache la pire de tes prisons, une absence, comme un cri éclatant les repères de ton vide.
    Une douleur secrète qui te fait exister.
    Toi le mal aimé.








  • Elle danse sur les reflets , comme une entité projetée sur le miroir mystérieux de l'existé,  rêveuse évasive, solitaire, sur le prisme béat et tangeant de l'air, elle vibre de mille feux de son regard étrange.
    Les contours se peaufinent loin très loin , difficile envergure de nos rêves indicibles.
    Ecoutes là vivre au rythme de sa nature incarnée, écoutes là aimer les plus immuables plaies du monde, elle transcendance le multiple et le simple, le lourd, l'épais, le subtil, dans ses notes de terre unis à la pierre, génétique de l'air, organe existen-ciel de l'éther...elle tisse des repères innombrables aux vents de poussière, écarte les reflets des subtilités lunaires... priant les astres étoilés, ode de toute l'humanité, ode des siècles oubliés, au vent du cœur passé...







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